Chapelle Sainte-Anne
Aussi connue comme Chapelle de l’Empereur
Une des petites chapellesUne petite église qui n’est pas une église paroissiale. Elle peut faire partie d’une entité plus grande, comme un hôpital, une école ou un lieu de culte, ou être autonome.
Une partie clôturée d’une église avec son propre autel.
historiques d’Anvers est celle de la corporation des tondeurs de draps, construite en 1512 dans la Rue de l’Empereur (Keizerstraat), de là son surnom de ‘chapelle de l’Empereur’. Elle connut son heure de gloire au XVIIe lorsque la paroisse SaintIl s’agit d’un titre que l’Église accorde à une personne décédée qui a mené une vie particulièrement juste et fidèle. Dans l’Église catholique romaine et l’Église orthodoxe, les saints peuvent être vénérés (mais pas adorés). Un certain nombre de saints sont également des martyrs. Willibrord y trouva un refuge temporaire par mesure de sécurité. Surtout sous l’administration du curéUn prêtre en charge d’une paroisse. Petrus De Louwe. La chapelle gothique sera enjolivée par quelques meubles baroques, tels que l’autelL’autel est le meuble central de l’Eucharistie. A l’origine, un autel est une table de sacrifice. Cela correspond à la vision théologique selon laquelle Jésus s’est sacrifié, par sa mort sur la croix, pour racheter l’humanité, comme le représente symboliquement le tableau « L’Agneau de Dieu » des frères Van Eyck. Dans les temps modernes, l’autel est souvent décrit comme « la table du Seigneur ». Ici, l’autel fait référence à la table à laquelle Jésus et ses disciples étaient assis lors de l’institution de l’Eucharistie pendant la dernière Cène. Tout comme Jésus et ses disciples l’ont fait à l’époque, le prêtre et les fidèles se réunissent autour de cette table avec du pain et du vin., la chairePièce de mobilier d’église, aujourd’hui en grande partie désaffectée, consistant en une plate-forme d’où le prédicateur s’adressait à son assemblée. Habituellement, une chaire est située au milieu, sur le côté sud de l’église. (Peeter II Verbrugghen), des confessionnauxMeuble spécialement conçu pour faciliter le sacrement de la confession, notamment en évitant que le confesseur et le confessant se retrouvent face à face. À gauche et à droite il y a des bancs où le confessant s’agenouille ; au milieu il y a une petite cabine où le confesseur s’assoit. Les deux sont séparés par un grillage, de sorte que le confesseur entend le confessant, mais ne le voit pas., le banc de communionEnceinte basse du chœur ou d’une chapelle sous la forme d’un long banc. Avant le Concile Vatican II, il était d’usage de recevoir la communion à genoux sur ce banc., le portail sud, le sol de marbre et un magnifique ostensoirUn support en verre décoré sur un piédestal, dans lequel une hostie consacrée peut être placée pour être adorée. En général, il existe deux types d’ostensoirs : l’ostensoir-soleil et l’ostensoir-tour, dont le nom fait référence à la forme de l’objet. L’ostensoir-tour est très similaire au reliquaire, qui était très populaire avant que l’adoration du Saint-Sacrement ne se répande. (Corbion, 1653). La vénération de Saint Liboire lui donnera encore plus de renommée. Fermée sous la domination Française, ce sera la toute première église rendue au culte catholique à Anvers. Elle passa dans le domaine privé au XIXe et échappera plus d’une fois à la démolition. Par la suite – et encore de nos jours – elle servira de chapelle au monastèreComplexe de bâtiments dans lesquels vivent ensemble les membres d’un ordre religieux. Ils suivent la règle de leur fondateur. Les ordres monastiques les plus anciens sont les Chartreux, les Dominicains, les Franciscains et les Augustins [et leurs homologues féminins : Chartreuses, Dominicaines, Franciscaines ou Clarisses et Augustines]. Note : Les bénédictins, prémontrés et cisterciens [et leurs homologues féminins] vivent dans une abbaye ; les jésuites dans une maison. des PèresPrêtre qui est membre d’un ordre religieux. Blancs, qui choisissent la ville portuaire d’Anvers comme base de départ pour leurs missions africaines. Fin XIXe elle fut dotée de très beaux vitraux (L. Pluys et E. Steyaert), racontant la jeunesse de Marie. En 1994 la chapelle retrouva sa splendeur d’antan grâce au mécénat de X. Nieberding.
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Informations pratiques
Heures de visite
Samedi, dimanche et lundi de 13h00 à 18h00
Sur rendez-vous pour des groupes.
Info
Keizerstraat 21 – B-2000 Antwerpen,
+32 (0)03 226 76 31
Contact: dr. De Bruyn Jean-Pierre:
+32 (0)9 355 69 60